A l'horloge du temps qui ne s'arrête pas
Les murs se souviennent pour nous
Le poids des autrefois du monde
Vestiges obstinés d'un dignité qui n'est plus
A l'ombre de ces remparts révolus
Nous reprendrons nos chemins coutumiers
Et, las, nous traînerons le poids lourd
Du souvenir sur nos âmes enterrées.
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