La branche

 

Fontevraud (49) le 26 janvier 2006
 

L'arbre
se libère
des limites
de nos existences

Devant l'immensité
de nos rêves
s'ouvre
le battement
des espaces

Comme un matin
Qui bruisse
le paradoxe
de nos hontes

La branche rumine
notre salut
et accompagne
l'ampleur de nos illusions

La dévastation
des forêts déchirées
n'est que l'apparence
de nos plaies

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